Sabina KURUSAN et Margaux KLEIN (photo : heritages.io)
Margaux KLEIN on l’adore ou on la déteste. Il n’y a pas de demi-mesure. C’est la condition qu’elle a acceptée pour vivre la vie qu’elle veut vivre. Une vie faite d’écoute de ses désirs, de travail acharné et de challenges toujours plus grands pour les satisfaire.
Tu peux écouter le podcast que j’ai réalisé
ou le visionner en vidéo.
Margaux KLEIN
Elle est devenue la référence en matière de développement financier et elle assume totalement sa réussite financière et personnelle. Elle assume totalement d’être devenue multi-millionnaire à 30 ans, d’avoir construit une plateforme d’investissement à 34 ans, qui est en passe de devenir une alternative globale et indépendante des systèmes bancaires. Mais aussi de vivre une vie de couple, des relations familiales et amicale épanouies.
Elle ne ménage pas son énergie pour se mettre au service de celles et ceux qui veulent « augmenter » leur vie en pérennisant leur patrimoine et en apportant son expertise et sa connaissance des systèmes de croissance personnelle et professionnelle.
Il y a 2 Margaux KLEIN (au moins) : celle qui harcèle avec obstination les avocats, les banquiers, les décideurs, les mauvais payeurs pour obtenir ce qu’elle souhaite. Celle qui rentre dedans, qui prend les coups et les rend. Celle qui se fait arrêter dans la rue pour un selfie au volant de la Porsche ou de la Bentley. Celle qui goûte les meilleurs champagnes dans les suites des Palaces des capitales du monde et organise des opérations shopping dans les boutiques de luxe à Paris, Monaco ou Gstaad.
Et il y a celle qui, avec beaucoup de bienveillance, dispense depuis 10 ans les connaissances des systèmes qu’elle a acquises et continue d’acquérir (le fonctionnement de l’être humain, la spiritualité, le marketing, la vente, les leviers de croissance, le rachat d’entreprises, l’investissement). Elle apporte ainsi aux personnes désireuses de passer de nouveaux paliers financiers, autant professionnels que personnels, les moyens de leurs ambitions.
J’ai voulu connaître un peu mieux Margaux, au-delà des paillettes des réseaux sociaux et du marketing. J’ai voulu comprendre ce qui l’anime, d’où elle vient, par quoi elle est passée et où elle va. D’où viennent cette confiance inébranlable, cette opiniâtreté, cette puissance de réalisation.
C’est de tout ça dont nous parlons, Margaux et moi dans cet échange.
- Si tu ne la connais pas encore, je t’invite à taper son nom dans ton moteur de recherche. Tu devrais trouver une masse d’informations. Margaux publie beaucoup et elle a des activités multiples.
- Tu peux notamment la retrouver sur Instagram, sur Youtube, sur TikTok ou sur LinkedIn.
- Tu peux aussi te procurer le livre de Margaux : Bonjour Richesse.
(lien partenaire)
L’interview
Tu peux écouter le podcast que j’ai réalisé
ou le visionner en vidéo.
La Villa Belmont, le “château rose” de Margaux.
Margaux m’a reçu chez elle. Dans sa maison de Montreux, la station balnéaire huppée de Suisse.
Depuis son “petit château rose” (rose à l’intérieur comme à l’extérieur). Situé sur les hauteurs de Montreux, on y profite d’une vue plongeante sur la baie du Lac Léman et d’un panorama exceptionnel sur les sommets abrupts du massif des Chablais (la Dent du loup, la Grande jumelle), de l’autre côté du lac.
La douceur exceptionnelle de ce début du mois d’octobre donnait à ce séjour des allures de villégiature cannoise.
Nous nous sommes installés autour de la table de la salle à manger, comme à la campagne. Mais pas la campagne des paysans. Celle des métayers et des maîtres. Une table massive, dont les dimensions (et probablement le poids) sont impressionnantes.
Margaux nous a servi un café et elle s’est installée à son aise, ses quelques affaires bien rangées devant elle, concentrée.
Elle était totalement présente pour moi.
Tout était calme. Des conditions idéales.
Précisions sur les conditions de l’enregistrement
J’ai réalisé cette interview le 4ème jour de mon séjour, au matin d’une nuit blanche. J’ai le visage et le cerveau fripés. C’est pourquoi tu entendras peut-être des hésitations, des langues qui fourchent, des longueurs. Si tu regardes les vidéos, tu verras peut-être mon cheveu en bataille et mes traits tirés. Rien n’aurait pu m’empêcher d’être présent à ce rendez-vous, même pas la vilaine entorse de la cheville que je me suis faite quelques jours avant mon départ. L’énergie porteuse de Margaux m’a aidé à tenir la barre. Ce fut une belle expérience de ténacité.
Le contexte
Ca fait environ 5 ans que je suis Margaux KLEIN sur les réseaux.
Je la suivais à distance. Convaincu que ce genre de personnes n’a pas sa place dans ma vie. Mais surtout que je n’ai pas ma place dans la sienne. Vermisseau apeuré que je pensais être. Victime expiatoire et résignée d’un karma digne d’Hannibal Lecter. Condamné à la pauvreté et à la souffrance.
Une femme, si jeune, qui assume et communique si ouvertement (jusqu’à la provocation) ses désirs, son mode de vie, ses préférences, c’était trop pour moi. Trop de liberté, trop d’ambition, trop de puissance. Trop chère, aussi. Des accompagnements High-Ticket dignes des plus grands gourous américains. Des sommes qui dépassent l’entendement. Mon entendement, mon cadre, mes références, mes croyances. Des offres réservée à l’élite, dont je me pensais exclu à tout jamais.
Pourtant, je ne l’ai jamais tenue très éloignée. Sans trop savoir pourquoi, au début. Simplement parce qu’elle était dans le haut de la chaîne alimentaire du développement personnel et que, le moment venu, il vaut mieux s’adresser au bon-dieu qu’à ses saints. Parce que je me sentais attiré, au-delà du bling-bling. Parce que je sais que nous sommes la moyenne des personnes que nous fréquentons, et que je voulais la faire monter.
Et puis parce que, au fil de mes observations, j’ai entrevu les espaces de vulnérabilité. Parce que j’en devenais le miroir. A plus d’un titre.
Progressivement, indépendamment de Margaux, je me suis autorisé à penser que, moi aussi, je ne valais pas moins qu’un autre. Que je mettais la poussière sous le tapis depuis longtemps, que j’avais bien des challenges à relever mais que j’en avais la volonté, la force et le courage. Que j’avais déjà connu quelques succès.
Et plus je “grandissais”, mieux je comprenais l’intention de Margaux. Plus je remarquais la pertinence de ses propos. J’étais bousculé car, loin des poncifs de la spiritualité, de l’équanimité, de la “position basse”, Margaux ne tourne pas autour du pot quand elle le juge pertinent et nécessaire. Mais elle ne le fait jamais avec violence.
Elle n’est pas parfaite, mais rares sont les gens qui atteignent ce niveau de conscience et d’action en 10 ans à peine et qui continuent avec acharnement à progresser, à se nourrir et à nourrir les autres.
S’il y a bien un message que j’ai reçu de Margaux, c’est que les défis sont à la hauteur de tes désirs. Que rien de nouveau ne se fait sans un effort qui dépasse tous ceux que tu as déjà fournis. Que c’est parfois douloureux, mais que ça ne dure pas, contrairement à la souffrance que nous nous imposons toute notre vie pour éteindre nos désirs, nous contraindre à ne surtout pas sortir du cadre. Nous rabaisser pour être acceptés. Nous taire pour ne pas déranger.
Margaux est cash. Margaux est rebelle. Margaux est obstinée.
C’est son caractère. On n’a pas forcément le même, mais on peut utiliser ses propres atouts pour les mêmes résultats, si on les souhaite. On peut apprendre comment identifier ces atouts et voir dans quel sens les orienter. Pour la plus grande efficacité. Sans vouloir ressembler à quiconque, sans tomber dans le piège de la comparaison et de la jalousie. Mais, au contraire, en étant au plus proche de soi-même.
C’est simplement une question de temps, de niveau de conscience et de connaissance de soi.
Margaux t’aide à gagner du temps.
J’ai fini par pouvoir m’offrir ses services. Nouvelle étape, naissante, de mon développement personnel.
Je n’ai qu’un objectif : mettre en œuvre ce que j’ai appris. Utiliser les atouts que je possède de la façon que moi seul maîtrise. Dépasser les peurs et les freins que j’ai pu identifier avec elle. M’entraîner, jour après jour. Passer les étapes pour densifier mon feu intérieur.
Je te souhaite une bonne écoute.
Il y a du bon grain à moudre.